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Par Nicole75 le 18 Juin 2016 à 21:06
Alors que la situation était si douloureuse ..... et difficile .....
pour croire et répondre avec beaucoup de courage, ce 18 Juin 1940, à cet appel devenu célèbre,
venant de Londres, mais émanant d'un grand Français : Charles de Gaulle !
Tant de monde, y compris parmi nos Politiques, n'ont pas connu eux mêmes ce temps.
Et tant mieux si les anciens ennemis se sont réconciliés après plusieurs années !
Cependant entretenons le souvenir, en hommage et reconnaissance
à ceux et celles qui ont vécu cette époque, et se sont dévoués
allant même jusqu'à donner leur vie (certains très jeunes), pour que nous soyons libres aujourd'hui.
Sans eux que serions nous ?
Les jeunes ne connaissent pas ....
mais les livres d'Histoire en parlent, et ils ont eu et ont même des parents, des grands parents, des voisins, des amis, de la famille qui ont parlé, raconté pendant plusieurs années .....
C'est ainsi que j'ai moi même appris, et je suis reconnaissante à ceux et celles que j'ai entendu raconter,
Ne soyons pas, quel que soit notre âge, indifférents à ce courage, cette espérance qui les habitaient,
et les ont mis en route ...
Ne soyons pas ingrats !
L'indifférence est un sentiment terrible !
hélas on la vit encore de nos jours, dans d'autres circonstances,
comme à l'égard des isolés, par exemple.
* l'Espérance ... plus forte encore que l'espoir ...
4 commentaires -
Par Nicole75 le 12 Juin 2016 à 08:30
simplement pour te dire, s'il est besoin ... , mon amitié et mes meilleures pensées ....
Je suis sûre que tu te reconnaîtras ....
Il n'est pas beau ?
à tous et toutes !
12 commentaires -
Par Nicole75 le 8 Juin 2016 à 22:10
Prière d'un cierge
Me voici devant toi, Marie.
Cette femme qui sort à l'instant de l'église,
c'est elle qui m'a déposé aux pieds de la statue.
Je ne pourrais dire pourquoi,
mais elle me semblait avoir le cœur lourd.
Elle avait l'air de vouloir te confier
quelque-chose d'important.
Mais elle hésitait, ne sachant comment te parler.
Les mots ne venaient pas.
Peut-être n'avait-elle pas encore identifié
clairement ce qui l'amenait vers toi.
Peut-être même Est-ce la première fois
qu'elle se tourne vers toi.
Alors, elle s'est déchargée sur moi :
"Tu lui diras, elle comprendra".
Quand elle eut allumé ma mèche,
elle a contemplé un moment ma lumière.
Serait-ce la véritable lumière qu'elle recherche ?
Soutiens la, Marie,
pour elle, sous ton regard, je me consume.
Jacques Hootelé
trouvé sur le site La Bonne Nouvelle
Il m'est arrivé de penser :
"Si chacun de ces cierges, chacune de ces veilleuses allumés dans une église devant une statue,
pouvaient parler ?
Que de souffrances, mais aussi de joies,
de supplications, de demandes, de remerciements,
ils exprimeraient !
.....
je suis restée qq minutes pensive, et ce texte dit bien ce qu'il m'est arrivé de penser
ce jour là ... et d'autres?
6 commentaires -
Par Nicole75 le 3 Juin 2016 à 21:56
et reconnaissance pour tous les professionnels et bénévoles, voisins, ou même venant d'alentour.
Je pense aussi à ces personnes qui vivent, pour certains depuis plusieurs années, sous des tentes,
dans l'un des bois de Paris ?!
il y a les hivers ! et puis ces jours et nuits durant lesquels la pluie n'a guère cessé ....
au point de provoquer de grandes crues sur l'Ile-de-France ...
et notamment à PARIS !
Comment ont ils vécu .... sous des tentes ou "habitations" précaires, inondées, sous des arbres, (alors que samedi dernier, la foudre faisait des victimes dont des enfants qui fêtait un anniversaire),
4 commentaires -
Par Nicole75 le 10 Mai 2016 à 16:17
C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert. A un moment donné, ils se disputèrent et l'un d'eux gifla l'autre. Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable :
AUJOURD'HUI, MON MEILLEUR AMI M'A DONNÉ UNE GIFLE.
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre :
AUJOURD'HUI, MON MEILLEUR AMI M'A SAUVÉ LA VIE.
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda :
- Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu écris sur la pierre. Pourquoi ?
L'autre ami répondit :
- Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer.
APPRENDS A ÉCRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.
Anonyme
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