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    Premier jour du triduum pascal : le jeudi, au soir duquel Jésus partagea son dernier repas pascal avec ses apôtres, et institua l'Eucharistie.

    Ensuite Il se rendit - avec trois d'entre eux, Pierre Jacques et Jean - dans un jardin, où Il aimait se retirer et prier, nommé Gethsémani, sur le mont des Oliviers ; ce mont d'ailleurs d'où l'on a une vue magnifique sur tout Jérusalem !

    Lors de la messe commémorant ces évènements, a lieu aussi le lavement des pieds, par le célébrant, à 12 personnes, en référence à l'exemple donné par Jésus qui lava les pieds de ses apôtres (Evangile de Jean) leur enseignant comme un testament, le sens du service et du Maître qui se fait serviteur des plus petits que Lui.

      

     

    Voici Pâques !  

     

    "Les oliviers actuels du jardin de Gethsémani sont vraisemblablement issus de boutures d’un olivier près duquel Jésus aurait prié sur cette colline de Jérusalem avant d’être crucifié, affirme une étude de chercheurs rendue publique vendredi 19 octobre à Rome.

    Le Mont des oliviers de Gethsémani est l’un des sites les plus sacrés des chrétiens : c’est là, rapportent les Évangiles, que Jésus a prié avec ses disciples dans la nuit du jeudi au vendredi saints.

    Des recherches scientifiques menées depuis 2009 sur huit arbres très anciens avaient été commandées par la Custodie de Terre Sainte. Des experts du Conseil national de recherches (CNR), le plus prestigieux institut de recherche italien, et de diverses universités italiennes y ont participé, notamment le professeur Giovanni Gianfrate, spécialiste de l’histoire de l’olivier en Méditerranée.

    « Une unique plante mère » à l’origine

    Leurs recherches ont permis de dater le tronc de trois des huit oliviers du milieu du XIIe siècle, une partie des racines étant certainement plus ancienne, selon ces chercheurs. Le jardin a en effet été réaménagé par les croisés entre 1150 et 1170, et une intervention aurait alors été effectuée pour récupérer les oliviers présents, ont-ils expliqué.

    Les chercheurs ont travaillé sur le patrimoine génétique des huit arbres et leur analyse montre « des profils génétiques similaires ». « Cela ne peut signifier qu’une seule chose », affirment-ils : qu’il y avait à l’origine « une unique plante mère »."

    (trouvé sur le net)

    mais c'est aussi ce que j'ai appris lors d'un pélerinage en Terre Sainte, de notre chef de groupe, un prêtre qui avait vécu plusieurs années à Jérusalem, où il avait fait des études, ce qui (nous étions gâtés et l'appréciions bcp) nous permettait de connaître une foule de renseignements supplémentaires ; c'est d'ailleurs au cours de l'un de ces pélerinages, en voyant le travail des archéologues, que je me suis prise d'un grand intérêt pour l'archéologie !

     

     

     


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    Sans titre, tout simplement ...

     

      pour vous souhaiter une bonne soirée et un bon week-end !

    Pour vous partager aussi cette image que j'ai trouvée bien jolie, en me promenant sur le web (si elle vous appartient et que vous vouliez la récupérer, bien sûr merci de me le dire, et je l'ôterai, même si la trouvant jolie, je le regretterai).

    Pour souhaiter aussi un vrai Printemps, même si la météo ne ns annonce pas forcément des températures printanières !

    Mais si souvent l'on se moque de ce que l'on disait "dans le temps" ou "autrefois" comme me le répètent à plusieurs reprises mes gamins et gamines du soutien scolaire .....

    Lorsque Pâques est tôt (comme cette année), il fait souvent froid pr cette grande fête.

    Ou encore :

    Le dicton : "Noël au balcon, Pâques aux tisons" !

    Mais je ne me souviens plus très bien s'il faisait froid à Noël ? mais en tous les cas ns n'avons pas eu un Noël blanc si je ne me trompe. Il est vrai que cette année j'ai moins souvenir de cette période "de fête" pour raisons personnelles, et notamment mes gros problèmes de santé.

      

    Alors même si aujourd'hui il fait gris de nouveau, réjouissons nous que les jours allongent de plus en plus, et aussi que les nappes phréatiques de plusieurs endroits soient à un très bon niveau, ce qui est très important, nous avons l'an dernier, des périodes durant lesquelles l'inquiétude avait amené à rationner l'eau tant pour l'arrosage des cultures, que même ds certaines villes.

      

    Sans titre, tout simplement ...

     

    A BIENTOT !

      

      

     

     


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    C'est .... 

     

     

     

     


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    Cette semaine ... au moins sur le calendrier ...

      

    Espérons qu'il sera beau, un vrai printemps ...

    J'ai enfin aperçu de timides petites fleurs et des petites feuilles sur un mini arbuste ...

    c'est bien agréable !

      

      

      

      

     

     

      

     


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    Du mal à y croire !

     

    L’Observatoire du management intergénérationnel a enquêté auprès des personnes en fin de vie active ou retraitées. Résultat : seuls 17 % des 50-65 ans ont une activité régulière dans une association. Pourtant, les seniors représentent un véritable vivier pour les responsables associatifs, en manque de bénévoles.

    Un Français sur trois a pensé à devenir bénévole…

    Venir en aide à une association, 33 % des 50-65 ans y ont déjà pensé. 29 % d’entre eux le feraient pour étendre leurs connaissances et leur expérience, une même proportion pour mieux connaître le domaine des associations et leurs besoins. Toutefois, ils ne se décident pas pour autant. Ce qui les dissuade : principalement, la distance entre leur domicile et les locaux de l’association. « Trop souvent, les personnes ignorent qu’il existe une association à deux pas de chez elles parce que les campagnes d’information ne sont pas assez importantes », analyse Marc Raynaud, président de l’Observatoire.

    … Mais la majorité ne souhaite pas s’engager

    Ce qui retient l’attention dans l’enquête de l’Observatoire (2) est toutefois qu’une majorité de personnes en fin de vie active ou à la retraite - 65 % – ne souhaitent pas s’engager dans une association. Un tiers des personnes interrogées évoque le manque de temps et la peur que cela devienne une contrainte. 18 % ne pensent pas pouvoir être utiles, 11 % disent craindre que le bénévolat entraîne des dépenses et 10 % assurent ne pas trouver d’association près de chez eux.

     .......

    L’observatoire estime aussi qu’il faudrait aménager les deux dernières années de vie professionnelle, en sorte que le temps de travail puisse être partagé avec un temps de solidarité. Autre innovation qui pourrait être mise à l’étude : l’extension du service civique aux plus de 60 ans, qui pourraient ainsi être envoyés en mission dans les associations.

    L’observatoire souhaite enfin que soit lancée une campagne de communication visant à mieux faire connaître le bénévolat.

     

    * Sondage mené du 21 novembre 2012 au 12 décembre 2012 auprès de 724 personnes âgées de 50 à 65 ans

    LESLIE BOURRELIER

    Extrait d'un article du journal LA CROIX.

     


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