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    Il y a quelques années j'ai lu un livre relatant un témoignage fort intéressant, s'inspirant du récit de St François d'Assise et du loup de Gubbio ; je vous le partage car peut être pourrait il être utile à l'une ou l'autre, ou à une personne de sa connaissance. Tout en enlevant rien à l'histoire de mon précédent billet, comme je vous le disais certains applique cela en psychologie disant que nous avons en nous (parfois ou davantage ?) un loup de Gubbio et qu'il nous faut l'apprivoiser comme le fit Saint François avec le vrai loup, .... très intéressant à réfléchir, méditer.

    Au début ce livre ne m'avait guère intéressée puis au fil des pages j'ai de plus en plus apprécié. Puis au fil du temps, et des épreuves auxquelles j'ai dû faire face, y compris de mes erreurs, de mes échecs, .... j'ai dû mener des "combats" à l'extérieur et à l'intérieur de moi aussi. Plus tard j'ai repensé à ce livre (je ne sais s'il est encore édité ?) et j'ai compris bcp de choses. Souvent nous pouvons être notre propre psychologue ..... ce qui n'enlève rien aux psychologues de métier bien sûr, mais c'est une simple constatation suite à des témoignages ....

     

     

    Intéressant également ....

     

     Un thé ou un café et quelques fleurs .... pour apprivoiser "votre" loup ...

    ou bien faire plaisir au "petit enfant" que nous avons également tous en nous,

    en somme une bonne co-habitation .....

     

    PS. Encore une fois, il s'agit de simples témoignages, notamment recueillis dans mes nombreuses lectures passées. Maintenant - dommage - je lis moins, étant davantage .... à l'ordinateur .... qui a aussi ses richesses, la preuve : celle de vous connaître, vous, vos blogs, vos chers compagnons à quatre pattes, etc ....

     

     

     

     


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    François d'Assise ...

    Quand il arriva à Gubbio, il n'y était bruit que de loups. L'un d'eux surtout faisait parler de lui. D'une taille et d'une férocité extraordinaires, toujours affamé, il mangeait non seulement les animaux, mais aussi les hommes et les femmes qui se présentaient. On en avait tellement peur qu'on s'armait de pied en cap pour sortir de la ville. Mais cette bête féroce s'était habituée à dévorer les gens les mieux armés, et vint le moment où presque personne n'osa plus s'aventurer hors des murs. Dieu, cependant, pour faire éclater la sainteté de son serviteur, lui inspira d'affronter ce loup furieux ; et quoique tous le conjurassent de n'en rien faire, il partit à sa rencontre avec son compagnon.

    Les gens de Gubbio étaient montés sur les remparts et sur les toits pour voir ce qui allait se passer. Pleins d'effroi, ils aperçurent bientôt le loup qui, la gueule ouverte, s'élançait sur saint François ; mais d'un signe de croix, celui-ci l'arrêta et lui referma la gueule : " Viens ici, frère loup, dit-il. Au nom du Christ, je te défends désormais d'être méchant. " A ces mots, le loup, tête baissée, vint se coucher à ses pieds.

    " Frère loup, continua le bienheureux, j'ai eu la douleur d'apprendre les crimes épouvantables que tu as commis dans la contrée, allant jusqu'à tuer des êtres créés à l'image de Dieu. Aussi mériterais-tu de périr dans les tourments, comme le pire des assassins, et je comprends que les gens de Gubbio te détestent. Je veux pourtant te réconcilier avec eux, de manière qu'ils n'aient plus rien à craindre de toi, et que toi non plus tu n'aies plus rien à redouter de leurs chiens ni d'eux-mêmes. " Par toutes sortes de signes, le loup témoigna de la satisfaction que lui causait ce discours.

    Saint François ajouta : " Si tu consens à faire la paix, Frère loup, j'obtiendrai qu'on te nourrisse jusqu'à la fin de ta vie, car au fond, je le sais, c'est la faim qui te pousse à commettre tant de méfaits. Promets-tu de ne plus faire de mal à personne, ni aux gens ni aux bêtes ? " Le loup inclina la tête pour montrer qu'il était d'accord ; et afin de sceller son engagement, il mit sa patte droite dans la main que lui tendait le bienheureux. Celui-ci le ramena dans la ville. Le loup suivait son bienfaiteur comme un agneau. Tous deux s'arrêtèrent sur la grand-place où la population de Gubbio s'était rassemblée.

    François fit alors un sermon admirable où il montra que ce sont nos péchés qui nous attirent les fléaux de Dieu en ce monde et qui, en l'autre, nous précipitent dans la gueule de l'enfer, bien plus redoutable, celle-là, que la gueule des loups les plus enragés. Il engagea ses auditeurs à la pénitence, puis il ajouta : " Mon Frère le loup ici présent jure de ne plus jamais vous nuire, si, de votre côté, vous vous engagez à le nourrir jusqu'à son dernier jour. Quant à moi, j'ai reçu un gage de sa promesse et je me porte caution qu'il tiendra parole. "

    D'une voix unanime, l'assemblée jura qu'elle prendrait soin du loup. Celui-ci s'agenouilla de nouveau, et, inclinant la tête, remuant la queue, hochant les oreilles et remettant sa patte droite dans la main du bienheureux, attesta une fois encore qu'il respecterait ce traité de paix. 

    Il n'y manqua jamais, pendant les deux ans qu'il vécut encore. La ville pourvoyait à son entretien. Pour lui, il allait et venait librement, entrant même dans les maisons, sans molester personne, et sans que les chiens aboyassent après lui. Il mourut de vieillesse et son décès fut un deuil universel, car on avait fini par s'attacher à lui ; et surtout, à le voir se promener paisiblement dans la ville, on se rappelait saint François dont le souvenir était resté si cher aux habitants de Gubbio.

    (trouvé sur le net)

     

    Il y aurait bien d'autres récits .... avec les oiseaux .... et même avec une petite souris ....

    Il est toujours agréable de lire les célèbres "Fioretti de Saint François d'Assise".

     

     

     

     

     

     

     


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    Pour détendre un peu l'atmosphère, et sourire,

    j'ai reçu ces quelques lignes que j'ai pensé vous partager, si vous le voulez bien :

     

    Réponses d'élèves de primaire 


    1. Dans la phrase ''Le voleur a volé les pommes'', où est le sujet ?
    - En prison. 


    2. Le futur du verbe ''je baille'' est... ?
     - je dors. 


     3. Que veut dire l'eau ''potable'' ?
     - C'est celle que l'on peut mettre dans un pot. 

    4. Qu'est-ce qu'un oiseau migrateur ?
     - C'est celui qui ne peut se gratter que la moitié du dos. 

    5. Que faire la nuit pour éviter les moustiques ?
     - Il faut dormir avec un mousquetaire. 

    6. À quoi sert la peau de la vache ?
     - Elle sert à garder la vache ensemble.

     7. Pourquoi le chat a-t-il quatre pattes ? 
    - Les 2 devant servent à courir, les 2 derrière à freiner. 

    8. Quand dit-on ''chevaux'' ?
     - Quand il y a plusieurs chevals 

    9. Qui a été le premier colon en Amérique ?
     - Christophe. 

    10. Complétez les phrases suivantes : 
    - À la fin les soldats en ont assez...
     - ...d'être tués.

     - La nuit tombée...
     - ...le renard s'approcha à pas de loup. 
     
    11. Pourquoi les requins vivent-ils dans l'eau salée ?
     - Parce que dans l'eau poivrée, ils tousseraient tout le temps. 


     12 . L'institutrice demande : 
    Quand je dis «je suis belle», quel temps est-ce ?
     - Le passé, Madame.
     

     

    Ce ne sont pas encore les perles du bac .... mais ....

     

     

    NB. Contrairement à cette image

    Le texte ne dit pas que les élèves interrogés étaient uniquement des filles !!!!

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LA MUSIQUE .... et elle peut faire tant de bien ....

     

     

    Je me permets de dédicacer ce petit billet à une amie fidèle qui je pense se reconnaîtra,

    mais ce n'est en rien "privatif" et si vous aimez ... eh bien profitez en, j'ai voulu tout simplement en ces moments difficiles, offrir un peu de douceur.

     

    Son langage est international ....

     

     


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    En passant sur les blogs, j'ai entendu avec plaisir une chanson déjà ancienne, mais très belle, sans doute inspirée du poème de Paul Fort : "Si tous les gars du monde" chantée par les compagnons de la chanson.

    J'ai retrouvé aussi ce beau poème, que je vous partage, mais sans doute le connaissez vous déjà, au moins en partie :

     

    Si toutes les filles du monde voulaient s' donner la main

    Tout autour de la mer, elles pourraient faire une ronde

    Si tous les gars du monde voulaient bien êtr' marins

    Ils f'raient avec leurs barques un joli pont sur l'onde

    Alors on pourrait faire une ronde autour du monde

    Si tous les gars du monde voulaient s' donner la main


    Si tous les gars du monde

    Décidaient d'être copains

    Et partageaient un beau matin

    Leurs espoirs et leurs chagrins

    Si tous les gars du monde

    Devenaient de bons copains

    Et marchaient la main dans la main

    Le bonheur serait pour demain


    Ne parle pas de différence

    Ne dites pas qu'il est trop blond

    Ou qu'il est noir comme du charbon

    Ni même qu'il n'est pas né en France

    Aimez-les n'importe comment

    Même si leur gueule doit vous surprendre

    L'Amour c'est comme au régiment

    Il n'faut pas chercher à comprendre


    J'ai mes ennuis et vous les vôtres

    Mais moi je compte sur les gars

    Les copains qu'on ne connaît pas

    Peuvent nous consoler des autres

    Le Bonheur c'est une habitude

    Avec deux cent millions d'amis

    On ne craint pas la Solitude...

    Paul FORT, Ballades françaises, élu en 1912 prince des poètes

     

    Un beau poème ....

     

     

     

     


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